Google1st: MADV Les itinéraires de Vivant Denon dessinateur et illustrateur préface de Pierre Rosenberg Musée Denon les collections le Bec en l‘air éditions. Imprimé à Nîmes 2007 kunstgeschichte@peterhelm : : chez fantôme casque ::: https://0700polygraf.blogspot.com/2023/05/les-pieces-liminaires-de-louvrage.html ::: MHG citations : et les estampes …devaient en être, si peut s'exprimé ainsi, la base> ::: Mais la rappelle combien volontiers le collectionneur développait . et une note légitime ainsi le relais assuré par Amaury Duval:

https://web.archive.org/web/20220911091315/https://sites.google.com/site/agevirtuel/ CITATIONS excerpts cat. 2005 musée Denon bloGspOt 3207 MADV Les itinéraires de Vivant Denon dessinateur et illustrateur préface de Pierre Rosenberg Musée Denon les collections le Bec en l‘air éditions. Imprimé à Nîmes 2007 CITATIONS kunstgeschichte@peterhelm : : chez fantôme casque CACHE GSITES https://sites.google.com/site/polxpert/home bloGspOt 3181 augst helm polygraphicae polygraf0700polygraph don't get me wrong dweed 1435 https://twitter.com/PeterHelm12/status/1651692183232167942 aces bvs faces kst places races traces value <> MADV Les itinéraires de Vivant Denon dessinateur et illustrateur préface de Pierre Rosenberg Musée Denon les collections le Bec en l‘air éditions. Imprimé à Nîmes 2007 ::::: kunstgeschichte@peterhelm ::::: chez fantôme casque

MADV Marie-Anne Dupuy-Vachey cat. exp. 2007

MADV 87/91. Un fantôme casque, tenant une chandelle, à ses pieds un personnage voilé et un enfant couchés Plume et encre brune, lavis brun, esquisse à la pierre noire, sur papier blanc collé en plein. 18,3 x 13,2 cm Trace de trait d'encadrement à la pierre noire. Inv. 1979.13.1, f. 15 (album factice). Hist. : cf. no 2. - Avec ce spectre curieusement coiffé d'un casque et ces pesronnages couchés - peut-être même morts ? - , cette scène aussi inquiétante que mystérieuse rappelle l'atmosphère des romans gothiques. Elle ne peut cependant se confondre avec aucun des épisodes du Moine de Lewis (cf. no 92 et p. 20-39).

MADV 77/70. Une grénouille à tête d'homme Plume et encre noire, lavis brun, traces de pierre noire, sur papier vergé blanc. 9,7 x 11,1 cm Inv. 1979.13.1, f. 19(album factice) Hist. : cf. p.42, no 2. aurait fait partie de la vente après décès de Vivant Denon (1826), si l'on en croit l'inscription placée en tête (f.2) de l'album factice dans lequel est collée cette feuille avec un certain nombre d'autres dessins et gravures (cf. annexes, pp.94-95 Composition de l'album factice du musée Denon, f.1 - f.41); cependant la marque (L.421) du collectionneur Alfred Beurdeley (1847-1919), apposée sur certaines gravures insérées dans cet album, prouve qu'il fut complété bien après la vente de 1826; vente, avec l'ensemble de l'album, Paris, Drouot, 9 novembre 1979, no 2; acquis par le musée, 12 novembre 1979.

MADV 65/47. Scène burlesque : un homme à moitié nu, penché en avant et approchant une flûte de son postérieur Plume et encre brune, esquisse à la pierre noire, sur papier vergé blanc. 17,2 x 12,3 cm Au verso : Souris et serpent, pierre noire. Collé sous le dessin : Corps féminin à moitié nu, pierre noire sur papier vergé. 9 x 5,4 cm. Inv. : 1979.13.1, f.23 (album factice). Hist. : cf. no 2.

MADV 83/84. -> p.10 Lettre et dessin A Monsieur / le Chevalier Denon / Ponte Bareteri Sopra / il Speciale / Venezia en bas au centre : cachet de cire rouge. Inv. 2004.3.5. Hist. : cf. no.12 ; Christie's, Paris, 15 décembre 2004, no 142 ; acquis par le musée Société des amis du musée Denon, don, 2004. Hist. : Christie's, Londres, 4 juillet 1989, partie du no 155; Margot Gordon, New York; <> Arrivé en octobre 1788 à Venise, Denon séjourne à partir du mois d'avril 1790 à l'adresse inscrite sur le billet où il a dessiné une amusante scène (Le Désespoir du peintre, ou Peintres chutant du mont Olympe). D'après s acorrespondance avec Isabella Teotochi (cf. Lettres à Bettine), l'on apprend qu'à cette époque, il s'adonne à la peinture. Peut-être veut-il évoquer ici ses propres déboires et désillusions dans ses tentatives de devenir un peintre reconnu. Si le thème des souffrances de l'artiste a inspiré de nombreux peintres, tel Watteau (Le Rêve de l'artiste, Grande-Bretagne, collection privée), Denon le traite de sa manière, c'est-à-dire avec humour et dérision. <> Pierre le Casque

0700 google1st references::referenzen <> MADV cat. exp. 2005, p.7-8 ...Pour quelle raison Denon se trouvait-il à Munich au mois de décembre 1805 ? Quel était l'objet de sa mission ? Curieusement nous n'avons aucun élément permettant de retracer ses activités pendant ce séjour qui s'acheva à la mi-janvier de l'année suivante(2). Il serait suprenant, étant donné sa curiosité dans les domaines les plus variés et le réseau d'informateurs dont il disposait, que Denon n'ait pas saisi l'occasion pour rendre visite aux fréres Senefelder, inventeurs d'un nouveau procédé de reproduction mis au point dans leur atelier munichois quelques années auparavant. Pourtant, c'est ne qu'au cours d'un second séjour dans la capitale bavaroise que Denon aurait fait son premier essai lithographique, comme le laisse entendre le commentaire dont il accompagne une représentation de La Fuite en Égypte : (illustration p.19) Une expérience plus ancienne de cette technique expliquerait mieux les propos du baron Lejeune. Ce dernier, initié à la lithographie précisement au mois de décembre 1805, affirme que Denon aurait été tout d'abord à l'introduction de cette technique en France (3). Denon n'en aurait-il pas saisi immédiatement toute l'importance ? Ou bien redoutait-il les conséquences d'un procédé de reproduction aussi rapide sur la propagande impériale ? Les recherches et publications en cours sur l'histoire de la lithographie aideront certainement à mieux comprendre les circonstances de son implantation en France. Denon va par la suite s'enthousiasmer pour la , ainsi qu'il la dénomme. En se faisant portraiturer, un crayon dans une main, et l'autre posée sur une pierre lithographique (4), il semble vouloir revendiquer un rôle majeur dans le développement de cette technique au moyen de laquelle il réalisa lui-même une centaine de planches (5). mais ce sont surtout les Monuments des arts du dessin, receuil de lithographie d'après sa propre collection, qui prouvent combien Denon avait compris tout l'intérêt du nouveau procédé en matière de reproduction et de diffusion des oeuvres d'art, ce que s'attache ici à mettre en perspective Marie-Hélène Girard {pp.25-44}. L'exposition organisée par Pierre Rosenberg (6), permit de mettre en lumière la collection de Vivant Denon. <> (1) Cf. Vivant Denon, Lettres à Bettine, sous la direction de Fausta Garavini, éd. Martine Reid, 1999, p. 516-537 et Vivant Denon, Dirécteur des Musées sous le Consulat et l'Empire, Correspondance (1802-1815), éd. établie par Marie-Anne Dupuy, Isabelle le Masne de Chermont, Elaine Williamson, Paris RMN 199, t.I, p.224-302, t.II, p.1269-1286. <> 2 Cf. Vivant Denon, Lettres à Bettine, op. cit., p.358-359, Ferdinand Dollinger, , Archives Alsaciennes, 1923, p.201 et M. Bonnaire, Procès-verbaux de l'Académie des Beaux-Arts, t.II,1940. 3 Cf. De Valmy à Waagram, Mémoires du Général Lejeune publiés par M. Germain Bapst, Paris,1896, p.42-43, et Henri Bouchot, La Lithographie, Paris, 1895, p.32. 4 Portrait par Berthon, connu par la gravure {Lithographie colorée en contrepartie (l'exemplaire reproduit appartient au Louvre)} de Mauzaisse et Camoin et que l'on peut dater aux alentours de 1811 (cf. notice no.44,45) et cat. exp. Dominque-Vivant Denon, l'oeil de Napoléon, Paris, 1999-2000, no. 614. 5 Cf. Petra Ten-Doesschate Chu, Dominique-Vivant Denon,The Illustrated Bartsch, 121, vol.2, New York, 1988 et Arsène Bonafous-Murat, L'Art de la lithographie, Oeuvres d'art et produits de l'industrie II Dominique-Vivant Denon, Paris , 1999. 6 Dominique-Vivant Denon, l'oeil de Napoléon, Paris, musée du Louvre, 1999-2000, commissaire Pierre Rosenberg, catalogue sous la direction de Marie-Anne Dupuy. <> MADV cat. exp. 2005, p.10 ...Dans bien des cas, les planches des Monuments des arts du dessin sont essentielles pour permettre d'affirmer que telle ou telle oeuvre a bien appartenu à Vivant Denon. Nul doute que la publication qui fait l'objet de ce catalogue permettra d'en identifier de nouvelles. L'intérêt de cette publication est multiple. Elle rend tout d'abord accessible des planches qui, étant donné le format très peu maniable des Monuments, ont rarement été vues par les historiens. Elle révèle aussi tout une série de lithographies qui n'avaient pas été retenues pour l'édition de 1829. Si on connaissait l'existence de quelques-unes d'entre elles, la plupart sont totalement inédites. Elles éclairent d'un jour nouveau la collection de Denon. Elles soulèvent également beaucoup de questions sur la réalisation de cet ouvrage et les choix qui ont été faits. est-ce seulement pour des raisons économiques que certaines planches furent mises de côté ? En exite-t-il encore beaucoup d'autres à découvrir ? Sachant que le Gilles de Watteau était un de stableaux préférés de Denon, comment expliquer qu'il ne l'ait pas fait lithographier ? Réussira-t-on un jour à identifier la tête d'homme reproduite sur la pierre lithographique placée ostensiblement dans le Portrait de Denon peint par Berthon, et qui pourrait bien être en relation avec les Monuments ? La mise en valeur d'un tel fonds de lithographies, jusqu'alors négligé, nous offre occasion de saluer les efforts de Juliette Barbarin {et Benoît Maisonneuve} (pp.55-103) pour remettre à l'honneur Vivant Denon dans le musée qui porte son nom.

<> <> <> MHG cat. 2005 musée Denon Les Monuments des arts du dessin Le 20 juin 1829, la Bibliographie de la France annoncait la parution des Monuments des arts du dessin, tant anciens que modernes, receuillies par le baron Vivant Denon, pour servir à l'histoire des arts, lithographiés par ses soins et sous ses yeux, décrits et expliqués par Amaury Duval. Ce bel ouvrage (35), tiré apparemment à un petit nombre d'exmplaires et peu remarqué trois ans après la dispersion de la collection dont il reproduisait les pièces majeures, n'a guère davantage retenu l'attention de la critique (36), partageant l'oublie dans lequel sont tombées l'oeuvre et la personne de son rédacteur, Amaury Duval. Mais les diverses manifestations et publications qui ont, depuis 1997, remis en lumière la vie et les entreprises de Denon (37)invitent aujourd'hui à rouvrir le dossier de cet ouvrage monumental qu'il avait souhaité sans parvenir à le mener à bien; et la restauration, par le musée de Chalon, d'un fonds d'estampes en relation à la fois avec la publication des volumes et avec la collection de Denon et les archives du fonds Amaury Duval conservé à Autun, où se trouve notamment le manuscrit préparatoire, permettent d'en reconstituer au moins quelques étapes. <>

Les pièces liminaires de l'ouvrage donnent en fait deux versions successives des circonstances dans lesquelles l'ancien rédacteur de la Décade philosophique s'est trouvé associé au projet éditorial de Denon. La première en date est sans doute celle de la notice Notice sur la vie et les ouvrages de M. Denon, qui figure à la suite du des volumes (38). <> (39) Dans cette manière d'éloge destiné à rendre à M. Denon la justice qui lui est due et rédigé apparemment fin 1827 ou débout 1828 Amaury Duval mentionne, parmi les activités de Denon au-delà de 1815, le projet d'une Histoire des Arts dépuis les temps les plus anciens jusqu'à nos jours, où il prévoyait de connsigner toutes les observations qu'il n'avait cessé de faire dans ses voyages , dans ses visites dans tous les musées et cabinets d'Europe, sur le caractère, le style des productions des artistes de diverses écoles, à differentes époques. Et il ajoute : Les nombreux objets qu'il avait receuillies lui auraient fourni tout ce qui pouvait servir de preuves authentiques à cette Histoire générale de l'art; et les estampes devaient en être, si peut s'exprimé ainsi, la base Mais Denon mit tant de soin aux choix et d'exigence à la réalisation de l'ensemble qu'il ne put le voir terminé que cinq à six ans après qu'il l'eut entrepris, propos confirmés par les paiements enregistrés dans le livre de raison (40), entre janvier 1816 et octobre 1820. À en croire Duval, Denon ne serait réservé d'écrire ensuite le texte de ce grand ouvrage>, sans trouver le temps de rédiger autre chose que des , repérables effectivement dans les archives de la Société Éduenne (41). Mais la rappelle combien volontiers le collectionneur développait devant ses amis, ses idées sur l'origine des arts, leurs progrès, leur décadence chez les differents peuples, ainsi que sur les moyens de les faire concourir à l'avancement de la civilisation, à la prospérité des nations. Et une note légitime ainsi le relais assuré par Amaury Duval: Tel sera aussi le but de l'ouvrage que sur la proposition des neveux de M. Denon j'ai osé entreprendre. Cette séquence est confirmé notamment par une lettre du 31 août 1819, où Denon remercie Dawson Turner d'avoir souscrit à son ouvrage, présenté à une suite de 250 à 300 estampes , auxquelles il ne serait résolu à ajouter un texte qu'afin d'éviter les droits exorbitants des douanes anglaises (42) - comme si le tout premier projet avait été, selon l'usage apparu au XVIIIe siècle, celui d'un cabinet lithographié. précédé sans doute de l'écrit de M.Denon sur la formation et la composition de son cabinet, dont un fragment est inclus parmi les pièces liminaires des Monuments des arts du dessin (43). <> Dn. ...et les estampes ... devaient en être, si peut s'exprimé ainsi, la base

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Donnerstag, 27. April 2023

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