Donnerstag, 4. April 2024

Peter A. Helm DENON sales LE DÉJEUNÉ(R) DE FERNEY. :: 35 Têtes de Voltaire {37} ::: Henry Ramberg ::: Sophonisba Anguiscola ::: Contessa Albrizzi ::: Autoportrait, écrivant ::: Jean de la Valette :::

L'OEIL https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html bloGspOt helm denon sales https://0700polygraf.blogspot.com/2021/05/httpweb.html dweed Les Délices Voltaire's bedroom at Ferney 1775 https://web.archive.org/web/20090731125423/http://www.polygraphicum.de/DOMINIQUE_VIVANT_DENON_CATALOGUE_EXPO_SALE_2006_2007_Index.html
FERNEY VOLTAIRE :: Basan 1789-1809 , epreuve sans le grand ovale et les inscriptions au bas à gauche et à droite cf.CATALOGUE LOUVRE Paris 1999/2000, p.81,Ill.18 U.v.d.S. https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html
LE DÉJEUNÉ DE FERNEY. de Non d'après Nature à Ferney le 4 Juillet 1775 :: Gravé par Née et Masquelier même Année TIB 12102 No.007 , LF No.315 Exemplaire XXVII de Quarante-Huit sur grand papier à main et filigrané Adhémar p.117 cf. Exemplaire de l'INSTITUT et MUSÉE VOLTAIRE à Genève cf. DENON Catalogue Louvre Paris 1999/2000 , p.81, Ill. 18 U.v.d.S.
DENON del. et sculps VOLTAIRE 35 Têtes [37] TIB 12102 No.190 , LF No.314 Exemplaire XXVII de Quarante-Huit sur grand papier à main et filigrané cf. Exemplaire de l'INSTITUT et MUSÉE VOLTAIRE à Genève
cf. Exemplaire du British Museum. Londres cf.Portalis-Béraldi vol.II, p.437 https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html cf. DENON Catalogue Louvre 1999/2000 L'échange de correspondance entre Denon et Voltaire « Monsieur, « J'ai un désir infini de vous rendre mon hommage. Vous pouvez être malade, et c'est ce que je crains; je sens aussi qu'il faut souvent que vous vouliez l'être, et c'est ce que je ne veux pas dans ce moment-ci. « Je suis gentilhomme ordinaire du roi, et vous savez mieux que personne qu'on ne nous refuse jamais la porte, Je réclame donc tout privilège pour faire ouvrir les battants. « J'étais l'année dernière à Pétersbourg; j'habite ordinairement Paris, et je viens de parcourir les treize cantons dont vous voyez que j'ai pris la franche liberté. Si avec cela vous pouvez trouver en moi quelque chose qui vous dédommage des instants que je vous demande, alors mon plaisir sera sans reproche et deviendra parfait. « Je ne m'aviserai point, monsieur, de vous faire des compliments ; vous êtes au-dessus de mes éloges et vous n'avez pas besoin de mes humilités ; et puisque j'ai trouvé un moyen d'être votre camarade, je me contenterai de vous assurer que vous n'en aurez point qui vous soit plus parfaitement dévoué, monsieur, que votre, etc. « Le 3 juillet 1775. » Cette lettre amusa beaucoup Voltaire et eut le don de le tirer comme par enchantement de l'accès de misanthropie auquel il était en proie depuis plusieurs jours. Il répondit en ces termes : « Monsieur mon respectable camarade, « Non-seulement je peux être malade, mais je le suis, et depuis environ quatre-vingt-un ans. Mais mort ou vif, votre lettre me donne un extrême désir de profiter de vos bontés. Je ne dîne point, je soupe un peu. Je vous attends donc à souper dans ma caverne. Ma nièce, qui vous aurait fait les honneurs, se porte aussi mal que moi; venez avec beaucoup d'indulgence pour nous deux ; je vous attends avec tous les sentiments que vous m'inspirez, etc. « VOLTAIRE. » Le grand homme reçut, à bras ouverts son jeune admirateur et, ce qui ne pouvait manquer d'arriver, il subit comme tout le monde le charme de l'amabilité spirituelle, de la gaieté communicative de son nouvel ami. Voltaire retint Denon à Ferney toute une semaine. Il s'épanouit au soleil de cette exubérante jeunesse. Il fit redire au jeune courtisan toutes les amusantes chroniques de Paris et de Pétersbourg, les nouvelles littéraires et philosophiques du moment, et discuta longuement et passionnément les mérites de la grande Catherine, pour lesquels on sait qu'il avait un culte. Il faut bien avouer qu'ils ne furent nullement d'accord sur le compte de cette femme extraordinaire. Voltaire la voyait toujours telle qu'il l'avait décrite, à travers le prisme de la reconnaissance ; Denon la représentait, au contraire, telle qu'il l'avait vue. Il voulait bien convenir avec son contradicteur qu'elle possédait en réalité de grandes vues et des manières distinguées ; mais Voltaire ne consentait pas à concéder, à son tour, qu'elle eût un esprit fort ordinaire et un cœur dépourvu de sensibilité. Malgré cette divergence d'opinion, ils n'en restèrent pas moins bons amis. Voltaire consentit même à ce que Denon dessinât son portrait, et dans son enthousiasme tout paternel, il voulut absolument trouver dans les traits encore un peu indécis de son portraitiste d'occasion, une vraie ressemblance avec les siens. Le portrait de Denon gravé vers cette époque et qui fait partie de cette collection, ne paraît pas avoir des rapports bien saisissants avec le masque connu de Voltaire ; mais en fin de compte, celui-ci pouvait seul savoir alors ce qu'il avait été au même âge, et on ne peut nier que Denon, sur ses vieux jours, eût pris en effet quelque chose de la physionomie de l’illustre écrivain. Lorsque Denon fut rentré à Paris, il se servit de son croquis pour arrêter la composition d'un portrait de Voltaire qui fut gravé par son ami Saint-Aubin. Il arrangea en outre avec beaucoup d'esprit un petit sujet anecdotique qu'il fit graver par Née et Masquilier, et qui courut les salons à la mode sous le titre d'un Déjeuner à Ferney. Cette gravure communiquée à Voltaire, ainsi que celle de Saint-Aubin, le chagrina beaucoup plus que de raison. Il s'emporta contre Denon, et se plaignit que par son inexpérience des règles de l'art il l'eût fait plus laid qu'il n'était, et qu'il l'eût, pour ainsi dire, ridiculisé en le représentant en coiffe de nuit et en robe de chambre. Il est vrai que dans sa préoccupation de fixer en quelques coups de crayon la ressemblance de Voltaire, Denon avait adopté la méthode des caricaturistes, qui appuyent sur les traits saillants au lieu de les atténuer et que dans la partie inférieure du visage surtout, il avait accentué avec trop de vérité l'affaiblissement, les maigreurs et les pauvretés de forme que produit le grand âge. Il existe une planche à l'eau-forte de Denon qui contient jusqu'à trente-trois essais de la physionomie de Voltaire. Toutes ces têtes ressemblent parfaitement au type connu du personnage ; mais aucune n'est définitivement arrêtée par un trait net et exact. A défaut du mérite d'une réalisation parfaite du type, cette page de tentatives infructueuses a au moins celui de prouver que Denon avait une préoccupation très sincère d'arriver à la vérité. C'est sans doute après avoir échoué lui-même qu'il eut recours à la main plus exercée de Saint-Aubin. Cet incident du portrait donna lieu à une correspondance suivie entre Voltaire et Denon (1). On la chercherait en vain dans les œuvres complètes de l'inépuisable polygraphe; mais plus tard Denon eut l'idée de la faire imprimer pour la joindre à son exemplaire des œuvres de Voltaire. Cette plaquette de six pages, sans nom d'imprimeur, nous a été communiquée par un amateur, et nous croyons offrir une véritable curiosité aux lecteurs en la reproduisant ici. 1. Ces lettres font partie de la collection de M. Lemaire, graveur distingué, qui a bien voulu les mettre à notre disposition, ainsi que la planche introuvable des trente-trois portraits de Voltaire par Denon et une très-rare épreuve du déjeuner à Ferney. Voici d'abord la lettre par laquelle Denon, après une première visite à Ferney, demanda à Voltaire l'autorisation de faire son portrait : « A Genève, le 5 juillet 1775. « C'était l'amitié, monsieur, qui devait me mener au temple de la Bienfaisance. Je vous envoie mes passeports, dont mon empressement et votre complaisance ont prévenu les effets. J'ai le cœur plein de vos bontés. Votre gaieté est un phénomène qui ne sort point de mon esprit. Vous m'avez montré que le temps ne peut rien sur l'âme lorsqu'on ne laisse engourdir aucun de ses ressorts. Vous serez éternel, vous resterez toujours parmi nous, sans être sujet aux lois de la nature; vous en avez déjà franchi l'ordre, et, par degrés, votre être a déjà pris cette existence aérienne, l'accoutrement de l'immortalité. Voilà ce que l'on pense lorsque l'on vous a vu; voilà ce qu'il faut penser pour se consoler de vous quitter. « La Borde me demande votre portrait, et je regrette bien de ne vous avoir pas demandé, à titre de l'amitié que vous lui accordez, la permission de le faire d'après vous. « Je présente mes respects à Mme Denis et mes compliments à M. Adam. « Je suis avec la tendre vénération que vous m'inspirez, « Mon très-respectable camarade, etc. » A cette demande un peu évasive, Voltaire répondit par une sorte d'invitation tacite. « Je suis, monsieur, plus édifié de votre jeunesse que vous n'êtes indulgent pour ma décrépitude. Je crois avoir connu tout votre mérite quoique je n'aie pas eu l'honneur de vous voir aussi longtemps que vous me l'avez fait désirer. Je voudrais pouvoir envoyer à M. de La Borde le portrait qu'il veut bien me demander; mais je n'en ai pas un seul. Le meilleur buste qui ait été fait est celui de la manufacture de porcelaine de Sèvres : j'en fais venir quelques-uns et je vous en présenterais si j'étais assez heureux pour vous revoir. « Je vous prie de conserver vos bontés pour un vieux camarade bien indigne de l'être. « VOLTAIRE. » Au mois de décembre suivant Denon envoya le portrait gravé par Saint-Aubin à Voltaire, accompagné de la lettre suivante : « Si je n'ai joui que quelques instants, monsieur, du bonheur d'être près de vous et de vous entendre, un peu de facilité à saisir la ressemblance a prolongé ma jouissance ; et m'occupant à retracer vos traits, j'ai arrêté par le souvenir le plaisir qui fuyait avec le temps. 1. C’étaient des lettres de M. de La Borde, qui n'arrivèrent à Genève qu'après mon premier retour de Ferney. (Note de M. Denon sur cette lettre.) * « Les secours d'un artiste habile, ceux d'un ami aussi aimable par les grâces de l'esprit que par les qualités du cœur, tout a concouru à décorer et à éterniser l'hommage que je voulais vous faire d'un talent que vous venez de me rendre précieux ; je désire qu'il soit auprès de vous l'interprète de la reconnaissance que je conserve des politesses vraiment amicales par lesquelles, pendant mon séjour à Ferney, vous avez voulu absolument me prouver notre confraternité. Je suis, etc. » « Paris le 20 décembre 1775. » Ce à quoi Voltaire répondit un peu amèrement, quinze jours après: « A Ferney, le 20 décembre 1775. » « De ce plaisant Callot vous avez le crayon ; Vos vers sont enchanteurs, mais vos dessins burlesques : Dans votre salle d'Apollon, Pourquoi peignez-vous des grotesques? « Si je pouvais, monsieur, mêler des plaintes aux remercîments que je vous dois, je vous supplierais très instamment de ne point laisser courir cette estampe dans le public. Je ne sais pourquoi vous m'avez dessiné en singe estropié, avec une tête penchée et une épaule quatre fois plus haute que l'autre. Fréron et Clément s'égayeront trop sur cette caricature d'écaillé, faite dans un de nos villages. Vous y verrez une posture honnête et décente et une ressemblance parfaite. C'est un grand malheur de chercher l'extraordinaire et de fuir le naturel, en quelque genre que ce puisse être. « Je vous demande bien pardon. J'ai dû non seulement vous dire librement ma pensée, mais celle de tous ceux qui ont vu cet ouvrage. Je n'en suis pas moins pénétré, monsieur, de l'estime sincère et de la reconnaissance que vous doit votre très-humble et très-obéissant serviteur. « VOLTAIRE. » Denon répondit, et s'efforça de défendre son estampe en ces termes : « Monsieur, M. Moreau n'a pu me remettre que dans ce moment la lettre et la boîte que vous avez eu la bonté de m'adresser. Je vois avec plaisir le zèle que vos bons villageois mettent à vous plaire; j'applaudis à leurs efforts, et je reçois la boîte comme un cadeau, qui m'est agréable parce que je le tiens de vous. « Je suis en vérité désolé de l'impression que vous a faite mon ouvrage. Je ne plaiderai point sa cause : mon but est manqué, puisqu'il ne vous a pas fait le plaisir que je désirais. « Mais je dois vous rassurer sur la sensation qu'il fait ici : on le trouve plein d'expression; chacun se l'arrache, et ceux qui ont l'honneur de vous connaître assurent que c'est ce qui a été fait de plus ressemblant. C'est un grand malheur en peinture, comme en autre chose, de voir les objets autrement qu'ils n'existent. Pardon, monsieur, mais j'ai dû non seulement vous faire l'aveu de mon erreur sur ce portrait, mais vous dire naturellement et pour votre tranquillité tout ce que je savais du succès de cette estampe. « Je suis, etc. » Dans la réponse qui suit, Voltaire se radoucit un peu. Il ne veut pas blesser Denon, et lui fait parvenir une note contenant les remontrances d'un artiste relativement au portrait en cause. Il feint même d'ignorer que Denon soit l'auteur du Déjeuner à Ferney qui le fâche encore plus que le portrait. « Je suis bien loin, monsieur, de croire que vous ayez voulu faire une caricature dans le goût des plaisanteries de M. Hubert. « J'ai chez moi actuellement le meilleur sculpteur de Rome, à qui ma famille a montré votre estampe : il a pensé comme pensent tous ceux qui l'ont vue. On l'a prié d'écrire ce qu'il fallait faire pour la corriger : je vous envoie sa décision. « Il court dans Paris une autre estampe, qu'on appelle mon Déjeuner ; on dit que c'est encore une plaisanterie de M. Hubert. J'avoue que tout cela est assez désagréable. Un homme qui se tiendrait dans l'attitude qu'on me donne, et qui rirait comme on me fait rire serait trop ridicule. « Vous m'auriez fait plaisir si vous aviez pu corriger l'ouvrage qui a révolté ici tout le monde; et s'il en était encore temps, ma famille vous aurait beaucoup d'obligation. Je n'en suis pas moins sensible à votre bonté et je n'en estime pas moins vos talents. Je vous supplie de ne rien imputer à une fausse délicatesse de ma part. Je sens bien que vous m'avez fait beaucoup d'honneur ; mais je vous prie de pardonner à mes parents et à mes amis, qui ont cru qu'on avait voulu me tourner en ridicule. Je suis honteux de vous fatiguer de nos représentations. Soyez très persuadé du respect et de l'attachement qu'aura toujours pour vous votre vieux confrère. « VOLTAIRE. » « A Ferney, le 24 janvier 1776. » Voici cette décision, jointe à la lettre de Voltaire. « Etant consulté sur cette estampe, je crois que, pour la corriger, il faudrait premièrement : mettre le portrait d'ensemble ; — moins maniérer la tête ; — venir la dessiner d'après nature ; — prendre un parti sur l'effet total ; — enfin rendre la chose plus pittoresque. « Les défauts que je trouve : l'épaule trop haute ; — M. de Voltaire n'a pas de dessous d'yeux ; le nez est trop long et le front aussi ; — la bouche n'est pas bien, parce qu'elle cercle trop. Enfin Denon mit fin à ce pénible débat, qui n'était d'ailleurs désavantageux que pour Voltaire; car Mme Denis l'avait poussé à y jouer un rôle toujours déplorable à l'âge extrême qu'il avait atteint : celui d'un vieillard coquet et petit-maître. Avec tout l'esprit et la bonté qui lui étaient naturels, Denon mit tous les torts de son côté et en témoigna ses regrets avec une sensibilité touchante. « Je viens de recevoir votre lettre du 24 janvier ; je vous réitère mes excuses au sujet de votre portrait et de l'estampe de votre Déjeuner. Je me reproche bien sincèrement le chagrin que cela vous a causé ainsi qu'à votre sensible famille. J'étais bien loin de penser, lorsque je fis ces dessins, qu'ils feraient autant de bruit. Je ne voulais que vous retracer les moments que j'avais passés à Ferney, et rendre pour moi seul la scène au naturel, et telle que j'en avais joui. J'occupais même une place dans le groupe qui compose le tableau du déjeuner ; mais dès qu'il fut question de graver ce morceau, je me hâtai d'en exclure mon personnage. Soit par modestie, soit par amour-propre, je me trouvai ridicule en figurant auprès de vous et je ne voulus point jouer le nain là où l'on montrait le géant. Je ne réfléchis pas dans le moment que tout ce qui tient à vous doit avoir de la célébrité, et je laissai graver sans réflexion ce que j'avais dessiné sans conséquence. Au reste, la plus grande partie de ceux qui se sont procurés cette estampe n'y ont vu que la représentation d'une scène de votre intérieur qui leur a paru intéressante. Je ne connais point les ouvrages de M. Hubert : je n'ai donc voulu imiter personne. Je ne sais quel acharnement on met à vous effrayer sur cette production : si vous la connaissiez, vous verriez que votre figure n'a que l'expression simple que donne une discussion vive et familière. C'est m'affliger réellement que de vous faire croire que j'aie pu penser à vous ridiculiser; c'est dénaturer dans votre esprit tous les sentiments que je vous ai voués, et dégrader mon caractère. Eh ! monsieur, pourquoi voir toujours des ennemis? Les triomphes ne servent-ils qu'à multiplier les craintes? Qu'est-ce donc que la gloire, si la terreur habite toujours avec elle ? « Quant aux complaisantes observations de votre habile artiste romain, quoiqu'elles ne m'aient ni édifié, ni convaincu, je veux lui montrer que je ne suis pas moins complaisant que lui ; car je tiens si peu à ce que vous appelez mes talents, que je conviendrai de tout ce que vous voudrez qu'il contredise, et serai même plus que lui de l'avis qu'il faut que je retourne dessiner votre tête d'après nature. C'est un conseil que je me laisserai toujours donner bien volontiers, par le plaisir qu'il en résulterait pour moi de vous revoir et de travailler plus efficacement à vous convaincre de l'attachement et de la vénération avec laquelle je serai toute ma vie, mon respectable camarade, etc. « DENON. »
Henry Ramberg DENON del. et sculps TIB 12102 No.181 , LF No.151 , L No.189 Exemplaire XXVII de Quarante-Huit sur grand papier à main et filigrané cf. DENON Catalogue Louvre 1999/2000 cf. Collection Jens-Heiner Bauer. Hannover https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html
DENON Sophonisba Anguiscola Echecs DENON sculps TIB 12102 No.258 , LF No.1 , L No.1 Exemplaire XXVII de Quarante-Huit sur grand papier à main et filigrané cf. DENON Catalogue Louvre 1999/2000 cf. Exemplar sammlung lothar schmid bamberg https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html
Contessa Albrizzi di Venezia DENON del. et sculps TIB 12102 No.126 , LF No.192 Exemplaire XXVII de Quarante-Huit sur grand papier à main et filigrané Sold to Italian Collector https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html cf. Lettres à Bettine cf. CATALOGUE LOUVRE Paris 1999/2000 , p.92, Article 47 U.v.d.S. l’occhio di Napoleone LETTERE A ISABELLA TEOTOCHI MARIN – ALBRIZZI 1793 2 novembre 3 novembre 5 novembre 8 novembre 9 novembre NOTE D’ARCHIVIO E TESTI ORIGINALI DELLE LETTERE IN LINGUA FRANCESE 2 novembre 3 novembre 5 novembre 8 novembre 9 novembre
AUTOPORTRAIT de DENON, écrivant DENON del. et sculps TIB 12102 No.156 , LF No.180 , L No.221 Exemplaire XXVII de Quarante-Huit sur grand papier à main et filigrané cf. Exemplaire collection marie-anne dupuy-vachey. paris https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html cf. DENON Catalogue Louvre 1999/2000, p.91,Ill. 44 U.v.d.S.
JEAN PARISOT de la VALETTE Le Grand-Maître de Malte, La Valette DENON del. et sculps TIB 12102 No.170 , LF No.191 , L No.236 Exemplaire XXVII de Quarante-Huit sur grand papier à main et filigrané cf. Exemplaire Biblioteca Nazionale di Malta. La Valletta https://web.archive.org/web/20090627063012/http://www.polygraphicum.de/Portrait-Graphik.html <> https://web.archive.org/web/20090731125423/http://www.polygraphicum.de/DOMINIQUE_VIVANT_DENON_CATALOGUE_EXPO_SALE_2006_2007_Index.html
M(onsieur) de Voltaire

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